Chain of Memories : terminé

Ça y est, j'ai enfin terminé Kingdom Hearts Chain of Memories en mode normal et rebirth. 48h de jeu quand même, pour deux histoire, celle de Sora en quête de sa mémoire et de ses amis perdus, et celle de Riku tiraillé entre la lumière et les ténèbres de son cœur.


J’avais commencé ce jeu … par hasard presque, et sans motivation particulière, mais je me suis surpris à accrocher avec l’histoire. L’association insolite de Square Enix et de Walt Disney à pourtant porté ses fruits, et maintenant après avoir testé cet univers, je regarderai sans doute la série Kingdom Hearts avec des yeux nouveaux.


Bon, ceci dit, le jeu souffre quand même d’une linéarité un peu répétitive, et les salles s’enchainent parfois jusqu'à l’exaspération, surtout quand une carte nécessaire a la continuation refuse obstinément de sortir. De plus, sur 48h, la moitié est dévolue a un leveling assez basique, et donc peu attrayant.

Par ailleurs si le mode rebirth - à savoir la deuxième histoire, celle de Riku, disponible après avoir terminé le jeu une première fois - est une bonne idée, d’autant qu’elle est assortie d’une refonte en profondeur du gameplay, on peut noter également que cette partie offre une jouabilité déséquilibrée dans sa difficulté, le souci du soin devenant préoccupant au point de pousser le joueur a zapper allègrement certains mondes.

Mais la maniabilité et le plaisir de jeu de Kingdom Hearts, associé à un scénario bien ficelé balaie bien vite ses quelques défauts.

And Death Shall Have No Dominion

Pour fêter la venue de ce nouveau blog, je remet au gout du jour ce poème qui décidément me plais toujours autant.

And Death Shall Have No Dominion
by: Dylan Thomas

And death shall have no dominion.
Dead men naked they shall be one
With the man in the wind and the west moon;
When their bones are picked clean and the clean bones gone,
They shall have stars at elbow and foot;
Though they go mad they shall be sane,
Though they sink through the sea they shall rise again;
Though lovers be lost love shall not;
And death shall have no dominion.

And death shall have no dominion.
Under the windings of the sea
They lying long shall not die windily;
Twisting on racks when sinews give way,
Strapped to a wheel, yet they shall not break;
Faith in their hands shall snap in two,
And the unicorn evils run them through;
Split all ends up they shan't crack;
And death shall have no dominion.

And death shall have no dominion.
No more may gulls cry at their ears
Or waves break loud on the seashores;
Where blew a flower may a flower no more
Lift its head to the blows of the rain;
Though they be mad and dead as nails,
Heads of the characters hammer through daisies;
Break in the sun till the sun breaks down,
And death shall have no dominion.

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Nouvelle Version du Blog

Et oui, je change de blog comme je change de chemise, sans pour autant y publier autant que je le devrai. Mais bon, nous vivons dans une société de consomation, moi, je comsome des blog. A force, je devrai même faire un classment, des blogs les moins maniables aux blogs polués de pubs, en passant par ceux inspiré de l'architecture stalinienne. Bref, voici la nouvelle version qui tiendra ce qu'elle tiendra.

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Elagage de branches mortes

Je me suis occupé des quelques branches de ce forum qui arrivaient a être encore plus mortes que les autres. Donc de vide, le forum passe au stade de déplumé.

J'en profiterai pour transférer les données blog dans un autre blog, ce forum n'étant décidément pas fait pour ça.

Vous me direz que je ne mets pas mes blogs a jours très souvent... c'est exact, mais tant pis, changement d'herbage réjouit les veaux.

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Un siècle d'amour

Je voulais récupérer ce recueil depuis un moment, mais adepte endurci de la procrastination, je m’y suis pris deux semaines trop tard, deux semaines pendant lesquels les derniers volumes en circulation dans le commerce soient achetés. Naturellement, le livre n’est plus édité.

Mais le voici enfin dans mes mains, le livre tant attendu, avec sa poésie et ses illustrations, du grand Bilal. Voilà voilà, je suis content.

La plume de Dan Franck et le pinceau de Enki Bilal, pour parler de femmes et uniquement de femmes. Treize nouvelles qui sont en fait treize portraits de femmes, dans cette fin du XX° siècle.

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