mercredi 30 avril 2008

Fhtägn-Dazs ®

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S'étourdir de sensäations
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Fhtägn-Dazs ® , un voyage pour vos sens.

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Découvrez le nouveau parfun, Cthocolate. Fhtägn-Dazs ®, une histoire de goût !
Cet article est purement fictif. Toute ressemblance avec des éléments existant serait purement fortuite.

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mardi 29 avril 2008

Tata yoyo !

Voila, c'est juste pour dire que j'ai beaucoup aimé l'épisode 13 de reflet d'acide, notamment la chanson à boire dont je vous propose l’écoute. Pour ceux qui ne connaitrait pas reflet d’acide, précipitez vous ici.
Tata yoyo !

EDIT : Si comme Paladin vous n'aimez pas cette carte magic, vous pouvez zieuter >> celle là <<.
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lundi 28 avril 2008

Die Walküre

Après un premier Das Rheingold l’année dernière, c’est au tour de Die Walküre de passer à l’Opéra du Rhin, deuxième volet de cette tétralogie, ou première journée de la trilogie (l’Or du Rhin est le prologue) Et une fois encore la musique et le jeu nous emmène dans la magie de la mythologie nordique. La mise en scène de David Mcvicar n’a rien perdu de son efficacité, l’originalité et la surprise sont au rendez vous, mais toujours pour le plaisir des yeux.


La Walkyrie Brünnhilde a désobéi à son père, le dieu Wotan : elle a voulu soustraire à sa justice le guerrier Siegmund, frère et amant de Sieglinde. Cédant aux exigences de son épouse, l'inflexible Fricka, Wotan fait tuer Siegmund par Hunding, le mari de Sieglinde, et punit sa fille rebelle. Brünnhilde, déchue de sa condition divine, devient une simple mortelle. Exilée du Walhalla, endormie à l'abri d'un cercle de feu tracé par son père, elle ne s'éveillera qu'à l'appel d'un héros pur et inaccessible à la peur. Cet homme sera Siegfried, le fils de Siegmund et Sieglinde.

Un grand moment en définitif, et pourtant je n’ai pas été convaincu tout de suite. Certes, la musique était sublime, mais le jeu de Sigmund et Siglinde ne m’ont pas du tout convaincu. On hésite entre un choix chorégraphique donnant au couple une lourdeur toute humaine en comparaison des divinités qui les entoure, une sauvagerie due à une ascendance fougueuse, ou un jeu tout simplement inadapté. Mais l’impression de malaise ne subsiste pas longtemps, et l’entrée étonnante d’un Hunding grimé en samouraï étonne sans pourtant choquer. Le deuxième acte achève de convaincre, avec les prestations magnifiques des dieux et de Brunhilde, tant au niveau du jeu que du chant, tenant le publique sous le charme jusqu’à la fin.

Die Walküre

Voir aussi :
Crédit photographique : Alain Kaiser
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dimanche 27 avril 2008

Chronique des Vampires (suite)

Et voilà, je suis de retour. J’en profite donc pour sortir une petite news.

Aujourd’hui, je vais vous parler de la suite des Chroniques des Vampires d'Anne Rice, en tout cas ceux que j’ai lu, à savoir Le Voleur de Corps, Memnoch le Démon, et Armand le Vampire. La qualité de ces trois œuvres est très inégales, et de manière générale très inférieure aux trois premiers tomes (dont je parle ici), pour un certain nombre de raisons que je vais vous énumérer.

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Le Voleur de corps

Le Voleur de corps
Vampire impie, ne croyant ni en Dieu, ni au diable, ivre d'amour et de sensualité, Lestat a été pendant des siècles un prince courtisé dans le monde ténébreux et flamboyant des morts vivants. Mais aujourd'hui, à l'aube d'un nouveau millénaire, au cœur des jungles de néons de l'Amérique contemporaine ou dans l'immensité désolée du désert de Gobi, le doute le ronge, une obsession le tenaille : redevenir mortel. Regarder le soleil en face. Regarder la mort en face. Impossible? Peut-être pas.. . C'est du moins ce que prétend le mystérieux inconnu qui se livre avec lui à un diabolique jeu de cache-cache, Miami à Amsterdam, de la Nouvelle-Orléans aux caraïbes.
Des trois, c’est le meilleur, il est assez dynamique, l’histoire est sympatique, sous forme d’une aventure et d’une enquète, bref, cet ouvrage, bien qu’inferieur aux trois précédents ne manque pas de qualités. On peut déplorer le ton larmoyant de Lestat, mais l’ensemble est correct. C’est après que ça se gate.

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Memnoch le Démon

Memnoch le Démon
Vampire impie, ivre d'amour, de sensualité, de métaphysique, Lestat cherche dans les rues enneigées de New York Dora, une jeune prédicatrice aussi belle que charismatique. Fille d'un des gros bonnets de la drogue, elle est peut-être, n'ayons pas peur du mot, une... sainte. Déchiré entre ses appétits vampiriques et sa passion débordante pour la jeune femme, Lestat ne se préoccupe pas autant qu'il le devrait de cette étrange impression d'être observé. Et se trouve bientôt confronté aux adversaires les plus énigmatiques qu'il ait jamais connus.
Il m’a fallu longtemps pour le lire. Non pas qu’il soit long, bien qu’il le paraisse, mais il tire en longueur, surtout a partir du voyage de Lestat. Ce qui aurai pu et du être le sommet de l’aventure épique de ce personnage se transforme en pavé biblique répétitif et lourdement larmoyant, reprenant des éléments déjà vu milles fois sans apporter ni une once d’originalité, ni un quelconque intérêt. En fait, je trouve même que la cosmologie qui se dévoile est plutôt décevante. Bref, vous l’aurez compris, la mayonnaise n’a pas prise, je n’ai pas accroché avec cet ouvrage dont le début semblait pourtant prometteur. Dommage.

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Armand le Vampire

Armand le Vampire
Au chevet de Lestat, plongé dans un profond coma, David Talbot, l'archiviste du Talamasca, rencontre Armand, peut-être le plus mystérieux et sans conteste le plus séduisant des vampires. Il entreprend de lui faire raconter l'histoire de sa vie. Une histoire cruelle et flamboyante qui nous mène des steppes de la Russie à Constantinople et à la Venise de la renaissance, où il est recueilli par Marius, un peintre qui vit avec faste et dont il ignore qu'i s'agit d'un vampire. Mais Marius, dont le mode de vie et la tolérance suscitent la haine des autres vampires, sera brûlé sous les yeux d'Armand. Commence alors pour celui-ci une errance de plusieurs siècles qui le conduit à Londres, paris et enfin New-York, où grâce à deux enfants et à la magie de la musique, il pourra enfin entrevoir une forme de rédemption.
Peu de surprise dans cet ouvrage, Armand raconte sa vie à David Talbot, sa longue vie de vampire. Le livre est moins mauvais que Memnoch le démon, cependant, c’est dans cet ouvrage que ressort le plus l’un des éléments qui m'a déplu dans l’ensemble de la chronique. Les amours entre vampires. Il faut savoir que l’univers d’Ann Rice compte très peu de femmes, et qu’elles ne sont pas vraiment développées. Par conséquent, la grande majorité des vampires sont masculins, entretenant des relations plus ou moins intimes. En fait le rapprochement le plus parlant que je puisse faire, c’est que j’ai l’impression de lire un "yaoi". Alors si une fois de temps en temps, ça passe, tout le temps, c’est lourd. Je veux dire qu’en tant que mec, je sais pas si cela m’est spécifique, mais je suis incapable de trouver un homme beau, ou attirant, ou quoi que se soit de ce genre, ce qui fait que l’extase qu’ont ces vampires de type "toréador" à se contempler les uns les autres m’échappe totalement, étant donné que je suis dans l’incapacité totale dans ce genre de cas à m’identifier aux personnages, rupture qui me fait systématiquement décrocher du livre.

Voila, j'en reste donc à ma conclusion précédente, les trois premiers suffisent amplement, et en tout état de cause, on peut tout à fait se dispenser de Memnoch le démon.
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mardi 8 avril 2008

Tibet Libre

On parle beaucoup du Tibet en ce moment, je vais donc en remettre une couche, vu que hier, il y avait une manif à Strasbourg, place Broglie, dont je vous propose un aperçu vidéo par France 3 Alsace. Je profite des troubles qui ont agité le passage de la flamme olympique en France pour saluer l’action de tous ceux qui ont manifesté. Je voudrais aussi applaudir les politiques qui ont eu le courage de s’élever eux aussi parmi les manifestants. Après tout, il est de notre devoir, nous qui avons la liberté d’expression, de manifester notre mécontentement vis à vis d’une situation connue de toutes et de tous et qui en dépit de cette connaissance, n’évolue pas faute d’une ligne politique claire. Et dans ce combat comme dans bien d’autres, quelle que soit la mobilisation, il ne peut y avoir de résultat sans volonté politique.

Flamme olympique

Que fait la France « pays des droits de l’homme » face à cette crise ? Il semblerait que ce genre de considérations ne soit pas la priorité de la politique gouvernementale actuelle, trop occupée à faire signer des contrats. Espérons que de nombreuses mairies répondront positivement, comme c’est le cas à Strasbourg, à cet appel à placer le drapeau tibétain devant chaque mairie.
A Strasbourg, pas de flamme Olympique mais une "flamme des libertés au Tibet et en Chine".

Trois opérations se sont succédées lundi. Une opération isolée en canoë-kayak sur l'Ill, une flamme des libertés au Tibet et en Chine portée du Palais des Droits de l'Homme à la Place Broglie, un rassemblement sur la même place. Des actes pour réclamer l'arrêt des violences au Tibet et l'envoi sur place d'une mission d'enquête internationale.

La flamme a rejoint la place Broglie où des manifestants s'étaient rassemblés pour protester contre la politique chinoise au Tibet. L'excursion en canoë-kayack est l'oeuvre isolée de professeurs d'éducation physique, qui ont navigué sur l'Ill jusqu'au Parlement Européen en arborant des drapeaux tibétains, en guise de protestation contre la répression chinoise.

Le drapeau tibétain déployé sur la mairie de Strasbourg

Le conseil municipal de Strasbourg a adopté lundi une motion sur le Tibet dont le drapeau sera déployé sur la façade de la mairie en fin de semaine. Le conseil municipal, à l'initiative des conseillers UMP Robert Grossmann et Verts Eric Schultz, a décidé de déployer le drapeau tibétain sur la façade du centre administratif de la mairie jusqu'à la fin des Jeux olympiques de Pékin en signe de soutien des Strasbourgeois au peuple tibétain. Selon le texte de la motion, le conseil municipal dit "déplorer tous les actes de violence commis sur le territoire du Tibet" et "appelle à l'arrêt de la repression qui s'exerce à l'encontre de la population tibétaine". Eric Schultz considère que l'attitude de la municipalité s'inscrit en quelque sorte dans une "tradition", celui-ci rappelant notamment que le dalaï lama a été reçu en 1988 par le maire de l'époque Marcel Rudloff. Une nouvelle manifestation réunissant une centaine de personnes s'est par ailleurs déroulé lundi soir à Strasbourg au cours de laquelle plusieurs dizaines de manifestants se sont couchés sur la chaussée en signe de protestation contre les violences au Tibet, a constaté un journaliste de l'AFP. Sur une banderole on pouvait lire "Liberté pour le Tibet". En Alsace, le drapeau tibétain est par ailleurs présent sur la façade de la mairie de Mulhouse (Haut-Rhin) depuis plusieurs jours, a-t-on appris lundi auprès de la municipalité sans plus de précision.

France 3 Alsace

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jeudi 3 avril 2008

Eureka SeveN

Je viens de changer de papier peint, le nouveau représente Eureka, charmante pilote de mécha dans l’anime Kôkyôshi Shihen Eureka SeveN que j'ai visionné récemment.

Eureka Seven

Alors bon, c’est un anime de mécha, à priori, je suis pas très fan de ce genre, ceci dit, l’animation est nickelle (on doit notamment l’anime de Full Metal Alchemist au studio Bones, ce n’est pas rien, mais aussi Darker than Black, Juuousei, RahXephon, Tempouibun Ayakashiayashi, Skull Man, Wolf's Rain et j’en passe) l’OST sans être inoubliable (j’ai un peu du mal avec les openings et endings) reste tout à fait acceptable, et l’ambiance générale de l’anime est sympatique.

Logo Eureka Seven
Tout commence avec Renton Thurston, fils du grand Adrock Thurston qui a sauvé le monde lors du “Summer of Love”. Il vit maintenant avec son grand-père dans une ville paisible où il ne peut s’adonner au “Riff” son sport favori qui consister à surfer sur le “Trapar” étrange particule qui occupe l’atmosphère de cette planète. Chaque jour, il rêve de rejoindre l’équipage du “Gekko Go”, célèbre équipe de “Riffers” en marge de la société et n’hésitant pas à s’opposer aux militaires. Un jour, un LFO (mécha de l’univers d’Eureka Seven), le Nirvash, s’écrase sur la maison de Renton avec à son bord la jolie Eureka. Il arrivera à se faire inviter à bord du “Gekko Go” après avoir prêté son “Amida Drive” qui amplifie les pouvoirs du Nirvash alors en panne. A bord du vaisseau, il apprendra à connaître tout l’équipage et surtout développera sa relation avec Eureka alors même qu’une bataille se prépare…

Comme souvent dans ce genre d’anime, beaucoup d’éléments rappellent d’autres animes de mécha (organismes extraterestres, technologie des mécha plutot étrange, la fille sans émotion, etc...), cependant, malgré les 50 épisodes, double de la taille habituelle, qui permettent à l’anime d’avancer doucement, l’ensemble reste plutôt dynamique, avec au final très peu d’épisodes inutiles (pas plus de deux ou trois sur 50.) La principale critique que j’aurai à faire à l’anime est son personnage principale, Renton, basé sur l’archétype Naruto. Heureusement, les autres membres du Gekko State, dont Eureka, rattrapent la donne.

Bref, un anime sympathique, alternant entre des scènes un peu trop naïve (Renton comme Naruto est quasiment toujours à coté de la plaque) et les scènes plus sinistres (c’est une guerre, ya quand même quelques massacres) bien loin des monolithes tels qu’Evangelion ou Rahxephon.
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mercredi 2 avril 2008

Pas envie de newser aujourd'hui non plus. Vous voulez une news, ok, je vous en brade une.
« Souvent, je me dis que ma retraite est comme la femme de ma vie : Je risque d'être mort avant de la toucher. »

Fuzati