mardi 31 mars 2009

L'échelle de Riester

Riester, échelle de, méthode de classement de l’intensité ou magnitude d’une absurdité en matière de législation d’Internet. L’échelle de Riester, a été utilisée la première fois le 31 mars 2009 par le député français Christian Paul pour classer les sottises émises par le rapporteur Franck Riester lors des débats à l’assemblée nationale sur l’Hadopi. Elle peut par extension recouvrir toutes les déclarations gouvernementales déconnectées de la réalité de l'informatique qui fleurissent de toute part.
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lundi 30 mars 2009

« L’immobilisme est en marche, et rien ne pourra l’arrêter »
Edgar Faure
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vendredi 27 mars 2009

Blackout contre néo-obscurantisme

Contre le "néo-obscurantisme" du gouvernement français, l'Europe continue de rejeter les mesures proposées par l'HADOPI. L'exception culturelle française sera t'elle la répression là ou toute l'Europe envisage d'autres voies ? Les débats sur la riposte graduée reprendront lundi 30 mars à 16H00 17h30, je suivrai cela avec un grand intérêt.
La Quadrature du Net
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dimanche 15 mars 2009

Règle n° 01 : Le Chef a raison
Règle n° 02 : Le Chef a toujours raison
Règle n° 03 : Même si un subalterne a raison, les deux premières règles s'appliquent
Règle n° 04 : Le Chef ne dort pas, il se repose
Règle n° 05 : Le Chef ne mange pas, il se nourrit
Règle n° 06 : Le Chef ne boit pas, il se réhydrate
Règle n° 07 : Le Chef n'est jamais en retard, il a été retenu ailleurs
Règle n° 08 : Le Chef n'entretient pas des relations avec sa secrétaire, il l'éduque
Règle n° 09 : Le Chef ne quitte jamais son service, il a une réunion à l'exterieur
Règle n° 10 : Le Chef ne lit jamais son journal pendant le service, il s'informe pour protéger l'entreprise et donc les emplois de tous
Règle n° 11 : Le Chef fait énormément de sacrifices pour ses subalternes; ils peuvent bien en faire un ou deux pour le chef en retour
Règle n° 12 : Le Chef a le droit d'être toujours de mauvaise humeur et d'insulter les subalternes, c'est du à son stress de Chef
Règle n° 13 : On entre dans le bureau du Chef avec ses idées personnelles, on en ressort avec les idées du Chef
Règle n° 14 : Le Chef reste le Chef, même en caleçon de bain
Règle n° 15 : Plus on critique le Chef, moins on a de primes
Règle n° 16 : Ne jamais oublier que le Chef est obligé de penser pour tout le monde
Règle n° 17 : Seul le Chef a une vision globale et objective de l'entreprise
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samedi 14 mars 2009

Saga Freddy Krueger

Je n'aime pas beaucoup les films réalistes. J'ai tendance a penser qu'on vit assez dans le réel pour ne pas en plus avoir à se le coltiner pendant les heures de loisir. Du coup, je préfère les films fantastiques aux films réalistes, et dans le même genre de comparatif, je préfère la Saga Freddy Krueger aux autres slasher car cette série verse dans une veine bien plus fantastique. Cauchemar sur Elm Street me plais d’avantage que les autres série car son concept me plais : c’est par le biais des cauchemars et des peurs que Freddy tue. Par ailleurs, la série trouble aussi les limites des genres, à la fois slasher movies, film de fantôme et de maison hantée d’une certaine manière.

Les Griffes de la nuit

Nancy est une jeune adolescente qui fait régulièrement des cauchemars sur un homme au visage brûlé, avec un vieux pull déchiré et cinq lames tranchantes à la place des doigts. Elle constate d'ailleurs que parmi ses amis, elle n'est pas la seule à faire ces mauvais rêves. Mais bientôt, l'un d'entre eux est sauvagement assassiné pendant son sommeil.
C'est ainsi que le groupe fait la connaissance de l'ignoble Freddy Krueger, qui se sert des cauchemars pour assassiner les gens qui rêvent de lui. Nancy comprend qu'elle n'a plus qu'une seule solution : si elle veut rester en vie, elle doit rester éveillé...
Allociné
Ce premier épisode bien qu'ayant vieilli reste sans doute le meilleur de la série. L'ambiance est bien travaillée, Freddy a une présence inégalée, la photographie est excellente, bref, bon film.

Freddy 2 : La Revanche de Freddy

Deuxième volet rime parfois avec navet. C'est la cas ici, car s'il y a de bonnes idées, comme la possession, le massacre de masse et l'es visions infernales, le charisme d'huitre des personnages principaux rend le film complètement plat. Le jeu ne convainc pas, l'ambiance n'est pas en rendez vous, bref en dépit d'un Freddy aussi cynique que d'habitude, on s'ennuie ferme.

Freddy 3, les griffes du cauchemar

Sympathique, moins bien que le premier, mais ambiance sympa. Les meurtres perpétrés par Freddy sont toujours aussi imaginatifs, et si l'on peut sourire dans les scènes finales quand les pensionnaires de l'hôpital psychiatriques prennent le contrôle de leurs rêves pour gagner quelques aptitudes surprenantes, le film n'en est pas moins assez réussi.

Freddy 4 : Le Cauchemar de Freddy

Celui là, je n'ai pas accroché. Déjà, ya eu un changement d'actrice pour l'un des rôles, et ça, d'une manière générale, j'ai tendance à penser que ça vaut la peine de mort. L'affrontement final est sympa, mais c'est la seule scène qui vaut le coup.

Freddy 5 : l'enfant du cauchemar

Moins mauvais que le précédent, joli travail graphique, mais l'ambiance reste trop soft.

La Fin de Freddy, l'ultime cauchemar

Plus amusant qu'autre chose, les répliques de Freddy sont toujours teinté du même humour noir sadique, mais ce film n'est qu'un divertissement bien plat. Et puis j'accroche pas trop avec cet histoire d'esprits du cauchemard.

Freddy sort de la nuit

Etonament réussi pour un septième épisode, Wes Craven reviens pour clore lui même la saga dont il avait posé la première pierre. Si l'ambiance est stressante comme il faut, il manque néanmoins un peu de piquant, avec trop peu de victimes à mon goût. Par contre Le film n'est pas avare en scène spectaculaires comme on les aimes, et Freddy, toujours interprété par Robert Englund est joyeusement de retour, pourchassant l'actrice ayant joué le rôle de Nancy.

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Freddy contre Jason

Avec un nom pareil, on pouvait légitimement s'attendre au pire. D'abord parce que la série Vendredi 13 compte son lot de navet, ensuite parce que fusionner deux saga est un procédé a priori très artificiel.
Voilà bien longtemps que Freddy ne hante plus les nuits des jeunes de Elm Street. Les drogues secrètement administrées aux adolescents par leurs parents empêchent tous les cauchemars et le condamnent à l'impuissance. Pourtant, non loin de là, l'instrument de sa vengeance attend...
Jason, le tueur maniaque enterré, n'est pas tout à fait mort. Freddy le sait et décide de pénétrer son esprit. Il va faire de lui le bras armé de son terrifiant retour. Bientôt, Elm Street redevient un enfer. La jeune Lori Campbell et ses amis voient les morts violentes se multiplier autour d'eux. Entre Freddy et Jason, c'est à celui qui saisira ses victimes le plus rapidement. Très vite, ils deviennent concurrents. L'affrontement est inévitable. Lequel des deux monstres triomphera ? Nul ne le sait. Une chose est certaine : si certains survivent à ce choc, ils n'oublieront jamais..
Allociné
Et bien croyez le ou pas, mais ce film est très bien en fait. L'intrigue tient la route au moins autant que ceux des autres épisodes, les univers des deux monstres sont très bien reproduit et interagissent sans aucun problème. La musique est bonne, l'ambiance aussi, et si les caucherards générés par Freddy auraient pu être plus spectaculaires et plus glauques, ils n'en sont pas moins réussis. Bref, on bon slasher qui ne nous laisse pas une minute pour nous ennuyer.

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Voilà, j'en ai fini avec les slasher à l'ancienne mode. En définitif, mes conseils sur ces trois série sont
Vendredi 13 : regardez Jason X pour le divertissement et la version 2009 de Vendredi 13, oubliez tous les autres
Halloween : Le premier et son remake suffisent, mais sinon, ils sont tous regardable à l'exception du 3.
Freddy Krueger : le premier est une perle, le troisième se regarde, le sixième clos le cycle, et Freddy contre Jason est divertissant. Les autres peuvent être laissés de côté.
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vendredi 13 mars 2009

Vendredi 13

Dans mon dernier post, j’évoquais le genre cinématographique fleuri du Slasher, un genre qui tire largement ces règles du film Black Christmas : importance de la vue subjective du tueur, jeunes gens massacrés de diverses manières, bref, toutes sortes de cadres que l’on retrouve dans toute sa postérité.
Des jeunes femmes faisant parties d'une confrérie universitaire passent les vacances de Noël ensemble. Le groupe reçoit d'étranges appels téléphoniques, les jeunes femmes, qui semblent au départ s'en amuser, ne se doutent pas une seconde que les appels sont passés de l'intérieur de la maison...
Allociné
Black Christmas, bien que daté, reste très regardable. Je sais par ailleurs qu’un remake a été fait, mais lui je ne l’ai pas vu. Mais en tout état de cause, même le remake ne risque pas d’être aussi mauvais que la série Vendredi 13.

Vendredi 13

Vendredi 13
Certainement la série de slasher la plus mauvaise que je connaisse pour le moment, Vendredi 13, avec son célèbre Jason Voorhees, le tueur au masque de hockey. Là, on a le droit à un mélange de mise en scène déplorable, de scénario affligeant et répetitifs à outrance, le tout saupoudré d’un nombre indécent de clichés. Je vais faire court et lapidaire. Si vous voulez plus de détail, cette page donne un bon apperçu.

Déroulement type d'un Vendredi 13 :
  • Logo paramounth, résumé des épisodes précédents dont généralement la quasi totalité de la scène finale de l'épisode précédent, titre, puis générique blanc sur fond noir sans intérêt.
  • Le film commence, tissu de banalités généralement un peu trop long et plein de clichés et autres personnages caricaturaux, dont toute sortes d'adolescents plus ou moins débiles aux mœurs légères.
  • La nuit vient, c'est la pleine lune et une tempête s'annonce. Une fois les meurtres commencés, inutile de fuir. Les voitures ? N’y pensez même pas, aucune ne fonctionne.
  • Enfin, scène finale commençant par une course poursuite quelconque, l'immobilisation de Jason, et une scène bizarre n'ayant généralement lieu que dans la tête du dernier survivant (ils sont rarement plusieurs).

Vendredi 13

Quelle épreuve... long, chiant, ce film génère autant d'adrénaline qu'un épisode moyen de Derrick, avec une quantité équivalente de sang. Et puis ya pas Jason dans ce film, enfin si, il est évoqué, mais sous le nom de Jacky (!!!) et n'apparait que dans une scène sans doute rêvée par l'héroïne à la fin du film.

Vendredi 13 II : Le Tueur du vendredi

Dans la continuité du premier, guère mieux (c’est à dire nul, nul et re nul), mais cette fois ci, on à Jason, muni de son nom (dans le premier épisode, il est nommé Jacky…)

Vendredi 13 III : Meurtres En 3 Dimensions

Pour la première fois Jason tel qu'on se l'imagine habituellement, avec son masque et sa machette. Le film est un peu moins mauvais que son prédécesseur, mais ça reste daubesque. Quand au titre, je ne sais pas d’où ils ont sorti ça, mais faut arrêter les croquettes. Ils doivent l'avoir tiré au sort, ou trouvé sur un magazine, je sais pas... ça devait faire bien de mettre "3d" dans le titre.

Vendredi 13 IV : Chapitre final

Ça progresse. Le début, en dépit des longueurs ne manque pas de piquant, jusqu'au moment ou ça redevient du copié collé des trois précédents, sans une once de variation. Et puis chapitre final mon œil…

Vendredi 13 V : Une Nouvelle terreur

On bifurque pour parler de Tommy, protagoniste survivant de l’épisode précédent et de sa folie. Film chiant, et où Jason ne figure même pas, sinon dans les cauchemards de Tommy et dans les fantasmes d'un meurtrier qui rôde.

Vendredi 13 VI : Jason le mort-vivant

Premier chapitre sympa à regarder, largement au dessus de ses prédécesseurs. Tommy (encore lui) semble avoir troqué sa folie contre l'obsession d'en finir une fois pour toute avec le tueur de Crystal Lake. Action, humour, litres d'hémoglobines, scènes spectaculaires, enfin un bon film dans la série.

Vendredi 13 VII : Un Nouveau défi

Le niveau baisse un peu par rapport au précédent, et on nous reverse pas mal de clichés. Divertissant, et faisant cette fois ci appel aux pouvoirs psi... oui, bon...

Vendredi 13 VIII : L'Ultime retour

Après deux épisodes potables, on retombe dans la médiocrité. L'action principale se passe dans un bateau, et se termine à New York.

Vendredi 13 IX : Jason en Enfer

Produit par New Line, dans celui ci, Jason se la joue Nomad Soul, changeant de corps à de nombreuses occasions. Pas mal d'action avec un peu de magie noire et pas mal d'hémoglobine, il est distrayant à défaut d'être intéressant. Il annonce Freddy contre Jason dont je parlerai ulterieurement.

Jason X

Pur divertissement d'une débilité profonde, pas déplaisant à regarder, c'est juste très con. L'action est transposée dans l'espace et dans un futur ou notre planète n'est plus qu'un astre mort. Mais ce n'est pas ça qui va arrêter Jason, ni nous priver des clichés habituels

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Vendredi 13

Vendredi 13

Seul bon film de la série, il porte le même nom que le premier de la saga, mais faute de bon film dont faire le remake, il s’offre le luxe de rénover un peu l’image de Jason en utilisant les éléments de la série avec efficacité.
Clay part à la recherche de sa sœur disparue dans les bois aux alentours du sinistre et légendaire Crystal Lake, quand il découvre soudain, au milieu d'arbres couverts de mousse, les restes de vieilles cabanes abandonnées. Mais quelque chose de bien plus terrible se cache dans les bois.
En dépit des conseils et des avertissements de la police et des gens du coin, Clay décide de poursuivre ses recherches. Aidé d'une jeune femme qu'il rencontre parmi un groupe de lucéens venus passer un week-end fort en sensations, ils vont vite réaliser qu'ils risquent de trouver bien plus que ce qu'ils ne cherchent.
Ils ignorent qu'ils viennent d'entrer dans le domaine d'une des figures les plus terrifiantes de l'histoire du cinéma américain, l'infâme tueur qui hante Crystal Lake armé d'une machette aussi effilée qu'un rasoir... Jason Voorhees.
Toutlecine.com
D'une certaine manière, ce film est le remake de la fusion des trois premiers épisodes, le tout réactualisé pour coller avec le monde de 2009. Beaucoup d'action, Jason nous apparait sous ses trois formes : sans masque, avec un sac de jute, sur la tête et enfin muni de son célèbre masque de Hockey. Par ailleurs, s'il conserve sa puissance brute, le film joue plus sur quelques éléments qui transparaissaient dans les premiers chapitres de la saga, à savoir l'instinct territorial du tueur. Plaisant à voir, c'est clairement le meilleur épisode de la série des Vendredi 13, et si vous ne voulez en voir qu'un, regardez celui ci.

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C'est fini pour cette fois. Dans le prochain post, je vous parlerai de la saga Freddy Krueger, ainsi que de Freddy contre Jason, un film dont le nom semble suggerer un navet mais qui se révèle en fait être un bon slasher, certes pas filppant pour deux sous, mais très divertissant.
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dimanche 8 mars 2009

slasher movies

Il est un genre dans les films horrorifiques que j’avais jusque là un peu boudé, il s’agit des slasher movies. Evincé pour diverses raisons, dont la principale est que je n’ai pas suivi la vague « Scream » en 1996, j’ai néanmoins décidé de remédier à cette lacune, et me suis donc lancé à l’assaut de quelques uns des titres les plus connus, à savoir Halloween, Vendredi 13, et la saga de Freddy Krueger.

Mais tout d’abord, qu’est ce qu’un slasher ? Et bien un film d’horreur centré autour d’un meurtrier qui élimine un à un de manière plus ou moins sanglante. Slasher vient du verbe to slash qui signifie taillader, ça dit bien ce que ça veut dire. Mais il y a encore un paramètre important avec les trois série dont je vais parler, c’est que la mort du tueur quand elle survient n’est jamais définitive, bien au contraire.

Halloween

Masque livide et grand couteau, tels sont les marques Michael Myers, le tueur de la nuit d’halloween. Intuable, impitoyable et jamais pressé, il a durablement marqué le genre.

Halloween, La Nuit des masques

La nuit d'Halloween 1963. Le jeune Michael Myers se précipite dans la chambre de sa soeur aînée et la poignarde sauvagement. Après son geste, Michael se mure dans le silence et est interné dans un asile psychiatrique. Quinze ans plus tard, il s'échappe de l'hôpital et retourne sur les lieux de son crime. Il s'en prend alors aux adolescents de la ville.
Premier de la série, il pose le genre et ces règles. Même si son déroulement est trop lent pour le spectateur de 2009 qui lui préferera sans doute son remake par Rob Zombie, Halloween, La Nuit des masques reste un grand nom du film d’horreur. Il n’a d’ailleurs pas si mal vieilli que ça en dépit des longueurs qui sont la marque des vieux films semble t’il.

Halloween 2

Dépourvu de caractère propre, ce film est dans l’exacte continuité du premier avec lequel il forme un diptyque. Il n’apporte rien de nouveau, mais n’est pas mauvais, juste un peu plat.

Halloween 3

Ce film est une blague. Ce film est tellement mauvais et tellement chiant que je n'ai pas pu le regarder en entier. Si on faisait un top 10 des plus mauvais films, celui ci n’arriverait même pas premier, car il est si mauvais qu’on ne veut le nominer nulle part. Il y a des limites à ce que je peux supporter, et Halloween 3 va bien au delà de ces limites. D’ailleurs, ce n’est même pas un slasher, et ya pas Michael Myers dedans, ni aucun des protagonistes ou lieux de la série, bref pour tout dire, cet Halloween n’en est pas un.

Halloween 4 : Le Retour de Michael Myers

Ah, le retour de Michael Myers, et à un bon petit film d’horreur, avec meurtres, massacres, et tout ce qu’il faut. On revient à la ligne scénaristique de base, faisant comme si le troisième n’avait pas existé.

Halloween 5 : La Revanche de Michael Myers

Suite du quatrième, Le film est gâché par les dindes stupides dont on à hâte qu'elles se fasses saigner, ce qui tarde un peu trop, mais après, ça va mieux, la fin du film reviens dans la moyenne.

Halloween 6 : La Malédiction de Michael Myers

Bon film, mais là on s'éloigne du slasher pour passer à la case "thriller fantastique d'épouvante"

Halloween 20 ans après

Retour au slasher, même s'il ya (beaucoup) trop de survivants, il est moins bon que les autres pour cette raison.

Halloween : Resurrection

Loft story version halloween ... je dois admettre qu’au début, on pense que la mayonnaise ne prendra pas… et pourtant, ça marche, on finit par apprécier le spectacle avec délectation.

Halloween

Remake du premier par Rob Zombie, ce film à un coté Devil's Reject au début (par Rob Zombie également, et avec le même directeur de la photographie de surcroit, Phil Parmet, ça explique bien des choses) ce qui, à mon avis, n’est pas une excellente chose, puis l'hyper violence prend le pas dès le prologue terminé, se poursuivant en crescendo jusqu''à la fin. Ce n’est pas un mauvais film, mais l’ultra violence finit par occulter totalement le contexte halloween pour en faire juste une grosse boucherie, réussie certes, mais guère élaborée. De nombreux clin d’œil au film originel sont décelable en de nombreuses occasions, ce qui fait toujours plaisir, mais en définitif, je crois bien que je préfère l’original à la copie.


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En définitif, un série sympa à regarder (à l'exception du troisième épisode à éviter absolument), et a ne pas louper pour les amateurs de films d'épouvante. Voilà, ça sera tout pour cette fois. Rendez vous la prochaine fois avec Vendredi 13, dont chaque épisode est une véritable caricature.
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