Blablabla...

Alors que je m’efforce de terminer mon mémoire et de compléter autant que possible une bibliographie unanimement considérée comme trop succinte, je me prends les pieds dans des pages et des pages de controverses et autres querelles intellectuelles stériles qui pullulent dans les travaux universitaires des éminents chercheurs dont je me coltine la lecture, sans avoir le droit, moi, de le commenter ni même de le signaler dans mon propre travail sous peine de me le voir vertement reproché comme ce fut déjà le cas lors de la présentation de mon projet de recherche, car je me dois cela va de soi, d’adopter un point de vue neutre sur ces questions d’une part et d'encenser ces gens d’autres part, étant donné qu’ils sont dans leurs milieux respectifs des sommités intouchables quand je ne suis moi qu’une larve grouillant dans la poussière tombant de leurs illustres publications, condition qui me prive de toute légitimité quand à une quelconque critique à leur encontre, critique qui d’ailleurs à tout bien considérer ne ferai qu’ajouter une querelle et/ou une controverse stérile de plus dans ce fatras de batailles mentales, adjoignant de ce fait une pierre douteuse à un édifice qui n’a guère besoin de cela pour branler dangereusement de toute parts, raison pour laquelle je poste ici, dans ce blog, cette note longue et vide d’intérêt qui tient lieu d’exutoire après une séance de lecture tout aussi longue et vide d’intérêt.

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