
Concrètement, le pirate reçoit un joli mail, puis un autre associé à une lettre recommandée l’enjoignant à cesser ses abominables activités, sous peine de se voir sucrer sa connexion internet pour un temps encore à définir. Mon avis sur la question, c’est que suite à la réponse très négative des juges de France qui ne souhaitent pas voir leurs tribunaux – d’ailleurs en diminution grâce à notre gouvernement – pollués par des affaires de piratages, les autorités décident de passer par un système répressif ne passant pas par le système judiciaire. Dit comme ça, je trouve que cette « répression douce » semble nettement moins douce qu’il n’y parait non ?
Bref, sans surprise, ce sont les majors qui dictent les lois, ces même majors qui ont perdu la guerre du MP3 parce que pareils aux dinosaures, ils n’ont pas su s’adapter.
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